Lucie était assise sur un tabouret, elle portait un T Shirt rouge et un jean noir décontracté, Corneille était sur le même genre de tabouret près du sien, bref l'ambiance se voulait plutôt intimiste et cela correspondait bien à ce qu'aimait faire Lucie ! La musique commença, et au même instanttout le stress que ressentait Lucie s'effaça d'un seul coup, elle sourit à Corneille, qui au répétition l'avait beaucoup aidé, et puis à la caméra et le chanteur commença, elle le regarda, pour qu'ils commencent réellement à communiquer tous les deux, cette chanson éait un véritable échange :
Nous sommes nos propres pères
Si jeunes et pourtant si vieux, ça me fait penser, tu sais
Nous sommes nos propres mères
Si jeunes et si sérieux, mais ça va changer Elle commença par regader Corneille puis le public, elle marquait le rythme en dansant un peu sur sa chaise doucement, elle plaçait sa voix et chantait doucement.
On passe le temps à faire des plans pour le lendemain
Pendant que le beau temps passe et nous laisse vide et incertain
On perd trop de temps à suer et s'écorcher les mains
A quoi ça sert si on n'est pas sûr de voir demain Le débit des phrases était assez rapide, amis Lucie réussit à faire passer ça de manière fluide, elle s'appropriait le texte et se sentait bien dedans, De plus l'ambiance que le chanteur t elle avait réussit à dformé était très sympatique, c'était un peu celle d'un boeuf entre ami, mais en plus pro !
Un rien Elle monta doucement dansles aigues, toujours de açon plus fluide, pus en souriant elle commença à taper des mains pour enourager le public, et pourquoi pas les téléspectateurs, à participer, puis elle regarda Corneille
Alors on vit chaque jour comme le dernier
Et vous feriez pareil si seulement vous saviez Elle arqua un sourcil et monta un peu plus dans les aigues, elle chantait toujours doucement, faisant un peu plus soul que
Combien de fois la fin du monde nous a frôlés
Alors on vit chaque jour comme le dernier Elle regarda la caméra et descendit un peu plus grave et chanta un peu plus fort, puis elle regarda Corneille et ils chantèrent à l'unisson.
Parce qu'on vient de loin Elle continuait à danser doucement sur son tabouret, enalternant les regards public, caméra et puis continuant son échange avec le chanteur, elle était sourinte, elle prenait vraiment plaisir à chanter.
Quand les temps sont durs
On se dit : "Pire que notre histoire n'existe pas"
Et quand l'hiver perdure
On se dit simplement que la chaleur nous reviendra Elle tapa d'une main sur son tabouret, elle était vraiment dans le rythme de la chanson et s'y sentait bien; elle regarda le public puis la caméra, elle souriait car cette phrase était plutôt optimiste.
Et c'est facile comme ça Elle regarda Corneille puis enhaina en le regadant toujours pour ne pas rompre l'échange.
Jour après jour
On voit combien tout est éphémère Elle chanta un peu plus vite et un peu plus fort, à ephemère, sa main bougea un peu dans les airs, sans quelle ne puise le controler, elle ressentait smiplement.
Alors même en amour
J'aimerai chaque reine
Comme si c'était la dernière
L'air est trop lourd
Quand on ne vit que sur des prières Elle hocha la tête et regarda le ublic, tout en continuant de bouger ses mouvemnts enplus d'etre naturel, l'aidnt à rester calée sur la musique.
Moi je savoure chaque instant
Bien avant que s'éteigne la lumière Les deux chanteurs se regardèrent, et à la fin du couplet, Lucie monta dans les aigus et tint la note, cette note tenue donnait une impression nouvell à la chanson, une pointe d'originalité, deplus leurs voix s'accordaient bien.
Jour après jour
On voit combien tout est éphémère
Alors vivons pendant qu'on peut encore le faire
Mes chers Il n'y avait plus de musique, lls se leverent et chantèrent le dernier coulets, chacun d'un coté du plateau, en essaya de faire participer et chanter le public, puis ils se rejoignirent au milieu du proscenium, regardèrent la caméra et finirent doucement.
Parce qu'on vient de loin
Lucie
Corneille
Les deux