Eval de Lucie

Méfie-toi des blessures
Que l'on ne guérit pas Elle commença à chanter doucement, la chanson était un peu plus puissante que e qu'elle avait l'habitude de chanter, elle regardait les professeurs, d'un air convaincu et un peu ambigue.
De mes mains qui rassurent
Mais ont eu tellement froid Sa main bougea un petit peu, car elle était vraiment dès le début rentrée dans sa chanson, Elle secoua un peu la tête pour accentuer le mot tellement, et chanta un peu plus fort.
Méfie-toi de ma peau
Elle se souvient de tout Elle replaça sa tête droite et continua de fixer les professeurs comme si elle voulait vraiment les persuader de ce qu'elle disait, elle pensait en même temps à ce qui lui arrivait en ce momnt et qui pouvait lui donner de l'émotion supplémentaire à faire passer, alors elle décida d'exploiter ce qui pouvait etre une petite faiblesse.
De ce qui est trop beau
Et n'appartient qu'aux fousElle sourit un peu, mais sourit en coin comme si elle était un peu ironique, car c'est comme ça qu'elle ressentait la chanson rien que par son titre " Méfie toi de moi". Elle chantait un peu plus doucement pour renchainr avec le début du coupet suivant.

Méfie-toi du passé
De sa mémoire immenseElle continua de fixer son auditoire, et bougea un peu la tête comme pour être plus convaincante, elle appuya un peu sur le mot immense et chanta un peu plus fort
De ce qu'on croit caché
Quand la vérité danse Elle souriait un peu et continuait de secouer un peu la tête en rythme puis elle s'arrêta pour renchainer plus fort.
Méfie-toi de mes peurs
Qui reviennent parfois Elle arqua un sourcil et avait une voix un peu plus plene de fragilité, car cette chanson la touchait vraiment particulièrement, elle était vraiment dedans, et espèrait faire passer la grande émotion qu'elle ressentait.
Méfie-toi du bonheur
Souvent il n'attend pasElle chantait un peu plus fort, sa voix reprenant un peu d'assurance, malgré la grande sensibilité dont elle faisait preuve.

Méfie-toi de moi
Car parfois ça m'abîmeElle chanta ses mots assez doucement pour marquer le contraste avec le refrain qui allait venir, elle était completeent dedans et faisait en sorte de ne pas se laisser déborder par ses émotions.
Tant de fois
Comme si c'était un crimeElle augmenta un peu le volume de sa voix et fixa les professeurs pour les convaincre.

Et même si je t'aime
Plus que toutElle ferma les yeux et des images défilèrent devant elle, elle sourit un petit peu, puis roucrit les yeux pour ne pas couper l'échange entre elle et le jury.
Méfie-toi de ces chaînes
Que l'on se met au cou Elle les regarda et secoua un peu la tête, son sourire avait disparu, elle s'exprimait vraiment beaucoup avec les yeux,qui était fixés sur ses professeurs.
Et même si je t'aime
Plus que moiElle augmenta encore un peu le volume de sa voix, sans vraiment que ce soit vraiment controlé, cela sortait vraiment comme un cri du coeur, quelque chose qui sortait vraiment d'elle même.
Méfie-toi de nos peines
Et du temps qui s'en va Elle continua sur sa lancée, en les regardant, elle ne se regardait pas dans le miroir, car elle avait peur que de se voir la coupe completement de son émotion.
Méfie-toi de moiElle chanta cette phrase comme si c'était une demande desespéré qu'elle faisait.

Méfie-toi des blessures
Que l'on ne guérit pasElle se calma un peu et décida de chanter ce couplet différemment de ce qu'elle avait fait au début de la chanson, elle chantait un peu plus fort.
De mes mains qui rassurent
Mais ont eu tellement froid
Méfie-toi de ma peau
Elle se souvient de tout
De ce qui est trop beau
Et n'appartient qu'aux fousElle sourit un peu mais tristement toujours comme si elle priait quelqu'un de faie quelque chose et dans ce cas ci de se méfier et même peut être de la laisser, peut être est ce qu'elle aurait du faire dans la réalité, elle ne pouvait pas s'empecher d'y penser, mais cela lui donnait peut etre une sincérité supplémentaire dans la chanson.

Méfie-toi de moi
Je me fais tant de malElle chantait fort, mais sans négliger l'émotion qu'elle ressentait, les paroles représentait tellement ce qu'elle vivait, qu'elle en était transportée, elle esperait transporter les profs aussi.
Tant de fois
De chagrins abyssaux
Méfie-toi de moi
Elle chanta le plus fort qu'elle le pouvait, mais sans hurler pour autant, elle resta juste, puis ferma un pu les yeux avant de les rouvrir en souriant.